Mozart Quartet K.465/Schubert Death and the Maiden

"When listening to the Fine Arts Quartet, I was not so much aware of an interpretation but more that the playing seemed an inevitable and natural extension of the music itself...I could only surrender to their music-making with total enjoyment...Each player has a fine technique and produces a rich, unforced quality of tone; and the quartet as a whole is a remarkably flexible and subtle instrument...Their playing is warm and expressive within an elegant classical style."   (A.S., Gramophone, June 1987)  

"Recommendations? The Fine Arts goes on my short list of performances I cherish, along with the Budapest, Busch, and Lindsay." 

(Rawson, American Record Guide, January/February 1991) 

 "A more genial, equally accomplished approach is that of the Fine Arts Quartet on Lodia 7700 [Schubert] coupled with "just as wise 

and winning (American Record Guide) an account of the Mozart "Dissonant" Quartet." 

(The CD Guide to Classical Music by Douglas C. Brown, 1993 edition) 

"Strong, detailed readings of both these masterpieces." (Hi-Fi News) 

"The Fine Arts Quartet ... has released cherishable performances of Mozart and Schubert." 

(American Record Guide, September/October 1990) 

"Rares sont les quatuors américains qui ont su trouver dans Mozart un style aussi dépouillé, une diction aussi limpide et un esprit aussi pur...Le son des violons est une véritable caresse, la respiration des phrases, reste bienfaisante et l'articulation sobre et délicate. Mais le raffinement de leur lecture n'enlève rien à la profondeur de leur discours qui ne cède à aucune mièvrerie. Leur palette de nuances et leur richesses de timbres éclairent l'oeuvre tout entière d'un lumineux rayonnement de bonheur et de sensibilité qui place leur interprétation au rang des plus illustres (Amadeus 1966, Berg 1985). Dans la Jeunne Fille et la Mort, tout y est: la parfaite technique de quatuor, l'excellente intonation, l'émotion de l'Andante, la dynamique duScherzo, et l'ardeur incisive du Presto final. Le plaisir est total même si le sommet des Dissonances reste unique."  (Jean-Michel Molkhou, Diapason, Février 1990)

"Cet enregistrement du Fine Arts qui nous parvient aujourd'hui est exceptionnel...Les interprétations sont d'une splendeur à couper le souffle. La maîtrise et l'équilibre les plus parfaits, les sonorités à la fois les plus pures, et les plus riches, s'y allient avec une intensité ardemment romantique. S'y ajoute une souveraine intelligence de la forme et de la construction...Les plus belles ne surpassent pas la nouvelle venue... A tous égards, ce nouveau disque du Fine Arts Quartet ressuscité est donc à recommander chaudement...Il s'impose comme élément de base de toute bonne collection CD!...Conclusion: au sommet de la discographie." 

(Harry Halbreich, Compact, Février 1987) 

"-ffff- Un événement exceptionel.  Le Fine Arts Quartet joue ces oeuvres brûlantes en acceptant de se laisser embrasser. A leur tour, ils nous communiquent sans peine leur violence, leur tendresse, leur chaleur. Ce qu'on appelle le feu sacré." 

(Gilles Macassar, Télérama, 12 Juin 1987)